C'était en hiver et déjà tombait la nuit, Quand elle arriva, je li - sais Paul Géral - dy.
Elle me dit : "bonjour", en soulevant sa voilet ----te Et sur son nez fit volti - ger sa houpet ----te.
Adorable sous les plumes de son chapeau, Elle fris - sonnait sous un manteau d'oce ------lot.
Je me penchais pour baiser sa main opaline, Mais lorsque mes lè-vres se fi-rent plus câ-lines
En soupirant, elle murmura d'une voix lasse : "Oh ! N'insistez pas Stanislas !"
Je la fis asseoir sur mon beau divan chinois, Tout contre moi
Mm, Mm !.. . sa peau de satin Mm, Mm, "copain, copain" !
Elle avait gardé ses plumes et son chapeau Mais dé - boutonné le man-teau d'oce - lot.
Mes yeux plongeaient dans ses yeux couleur d'ambre gris Elle protesta : "je suis affreuse aujourd'hui !
"Oh non, oh non, non, quelle audace, non ! "N'insistez pas Stanis -- las"
D'u-ne voix douce elle me fit u-ne pro-po-si-tion : "Faisons, voulez-vous, u-ne par-tie de Mah-jong !"
Mais bientôt mon vieux coucou son - na quatre fois. Ef-fa-rou-chée, elle quitta le divan chi-nois.
Elle remit en ordre ses plumes et son chapeau Et reboutonna le manteau d'ocelot
En la suppliant je la repris par la taille. Elle se dégagea en me disant : " bye bye !"
Seul comme un idiot je me suis vu dans la glace. N'insiste pas Stanislas
Oh non ! N'insiste plus Stanislas !