Cer - co l'esta - te tutto l'an - no e all'improv - vi - so ec - cola qua.
Lei è par - ti - ta per le spiag - ge e so - no so - lo quassù in cit - tà
sen - to fis - chiare so - pra i tet - ti un aeroplano che se ne va.
Azzurro, il pomeriggio è troppo azzurro e lun - go per me
mi accorgo di non avere più risorse senza di te
e allora io quasi quasi prendo il treno e vengo, vengo a te.
Il tre - no dei desi - de - ri nei miei pen - sieri all'in - con - trario và.
Sem - bra quand'ero all'ora - to - rio , con tanto so - le, tanti anni fa.
Cer - co un pò d'A - frica in giar - di - no, tra l'ole - an - dro e il baobab
Quel - le domeniche da so - lo in un cor - ti - le, a passeggiar
co - me facevo da bam - bino, ma qui c'è gente, non si può più.
o - ra mi an - no - io più di al - lo - ra, ne - anche un pre - te per chiacchie - rar.
Stan - no innaffiando le tue ro - se, non c'è il leo - ne, chissà do - v'è.
Nous sommes un couple bizarre
Moi je travaille, toi tu n'fais rien
Toi tu te dores sur une plage
Pendant que j'reste seule à Pantin
Si je ne déchire pas tes cartes
C'est que les timbres sont italiens
(Refrain)
Azzurro
Le ciel est bleu comme l'azzurro
En Italie
Azzurro
Mais à Paris il pleut des cordes
Et je m'ennuie
Allora
Je me fabrique un train de rêve
Qui va, qui va vers toi
Mais le train
Me laisse en route
Et chaque soir je rentre à pied chez moi
Tous les voisins sont en vacances
Et les boutiques sont au repos
Le facteur manque d'éloquence
Y m'donne ses cartes sans dire un mot
Pour fêter ma cure de silence
Monsieur se paye du bel canto
(au Refrain)
Dans le jardin quand je brouette (?)
Des oliviers, des baobabs
Me passent devant les mirettes
Je t'imagine comme un nabab
Sans trouver la moindre fleurette
Car cette année tout a gelé
(au Refrain, 2x)
Nous sommes un couple bizarre
Moi je travaille, toi tu n'fais rien
Toi tu te dores sur une plage
Pendant que j'reste seule à Pantin
Si je ne déchire pas tes cartes
C'est que les timbres sont italiens
(Refrain)
Azzurro
Le ciel est bleu comme l'azzurro
En Italie
Azzurro
Mais à Paris il pleut des cordes
Et je m'ennuie
Allora
Je me fabrique un train de rêve
Qui va, qui va vers toi
Mais le train
Me laisse en route
Et chaque soir je rentre à pied chez moi
Tous les voisins sont en vacances
Et les boutiques sont au repos
Le facteur manque d'éloquence
Y m'donne ses cartes sans dire un mot
Pour fêter ma cure de silence
Monsieur se paye du bel canto
(au Refrain)
Dans le jardin quand je brouette (?)
Des oliviers, des baobabs
Me passent devant les mirettes
Je t'imagine comme un nabab
Sans trouver la moindre fleurette
Car cette année tout a gelé